À la Source Bleue, on accompagne la vie des personnes qui s’en vont et de celles qui restent.
Suivi individuel
La Maison Source Bleue offre gratuitement entre 5-6 rencontres individuelles à tout proche d’une personne décédée au sein de la maison. Pour chaque personne, le processus de deuil est unique et peut être source d’une gamme d’émotions et de questionnements. Nous vous invitons à faire preuve de bienveillance et de non-jugement envers ce que vous vivez. Le suivi proposé vise à soutenir le processus de deuil, permettre l’expression des émotions et aider aux ajustements que cela implique. Cet accompagnement est offert par des travailleurs sociaux dans un climat empreint d’écoute et de compassion. Cela peut se faire en présence, en Zoom ou par téléphone, selon ce qui vous convient. Veuillez nous contacter au 450-641-3165 p. 234.
« Dans le deuil se cache la résilience, comme dans l’obscurité se dissimule la lumière. »
« Même si tout est cassé en nous, il reste toujours une part, si fragile soit-elle, par où la vie peut encore se faire une brèche. C’est au fond même de nos vies brisées que se joue la guérison. »
Groupe de soutien pour endeuillés
Savez-vous que le soutien social s’avère être un facteur de protection important pour traverser l’épreuve du deuil ? C’est pourquoi la Maison Source Bleue offre des groupes de soutien aux endeuillés. Si vous avez perdu un être cher et que vous avez besoin de connaître le processus de deuil, de partager votre expérience avec d’autres endeuillés, ou d’avoir un espace de parole bienveillant, nous offrons deux fois par année, soit à l’automne et au printemps, un groupe de soutien.
Ces rencontres sont offertes à la Maison Source Bleue. Les rencontres sont d’une durée de 2 heures trente et varient de journée selon la saison.
Il n’est pas obligatoire d’avoir fréquenté la Maison Source Bleue ou d’habiter Boucherville pour participer à ces rencontres. Ainsi, si vous connaissez des gens qui pourraient être intéressés, n’hésitez pas à leur transmettre l’information.
Si vous êtes intéressés ou si vous souhaitez de plus amples renseignements, n’hésitez pas à communiquer avec nos travailleurs sociaux.
Sophie Latour
Marc-André Thibault
Quelques lectures apaisantes
- BOBIN, Christian (1996). La plus que vive, Paris, Éditions Gallimard, 111 p.
- CARRIER, Réjean (2020). Parole. Et si on prenait le temps d’écouter ?, Québec, Maison Michel-Sarrazin. [Les extraits cités se trouvent aux pages 4, 48 et 69.]
- de MONTIGNY, Johanne (2010). Quand l’épreuve devient vie, Montréal, Médiaspaul. Nota bene : édition épuisée. Pour obtenir un exemplaire, écrire à [email protected]
- de MONTIGNY, Johanne et Claude CYR (2017). Ce vif de la vie qui jamais ne meurt, Montréal, Novalis. Nota bene : édition épuisée. Pour obtenir un exemplaire, écrire à [email protected]
- DORION, Hélène (2014). Recommencements, Montréal, Druide,
- FAURÉ, Christophe (2018). Vivre le deuil au jour le jour, édition revue et augmentée, Paris, Albin Michel, 380 p.
- KEIRSE, Manu (2000). Faire son deuil, vivre un chagrin, Louvain-la-Neuve/Paris, De Boeck & Belin, 260 p.
- MONBOURQUETTE, Jean, D’ASPREMONT, Isabelle (2011). Excusez-moi je suis en deuil, Montréal, Novalis, 165 p.
- PROULX, Jean (2019). J’ai perdu un être cher, Montréal, Médiaspaul, 174 p
- SERVAN-SCHREIBER, David (2011). On peut se dire au revoir plusieurs fois, Paris, Robert Laffont.
- SINGER, Christiane (2007). Derniers fragments d’un long voyage, Paris, Albin Michel, 138 p. [L’extrait cité se trouve en page 53.]
